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Congo in Conversation

Les danseurs clandestins de Goma

parBernadette Vivuya
11 mai 2020
dans Santé
Reading Time: 2 mins read

À cause du coronavirus qui restreint les activités sociales, les danseurs Moses Ramazani, Jérémie Musimbi et Théophile Bany doivent trouver des solutions créatives pour poursuivre l’entraînement.

Le trio fondateur du Amka Dance Project (« amka » signifie « lève-toi » en kiswahili) vit à Goma, ville tentaculaire de deux millions d’habitants proche de la frontière avec le Rwanda. Ils comptaient participer au Festival artistique Ubumuntu (« humanité » en kinyarwanda) à Kigali en juillet, mais la fermeture des frontières en raison de la pandémie l’a transformé en festival virtuel, du 17 au 19 juillet. La quatrième édition du Festival de danse de Goma, prévue du 27 avril au 4 mai, a elle aussi été reportée. 

La danse joue depuis toujours un rôle important dans la culture congolaise, mais les groupes de jeunes danseurs y sont parfois associés à des comportements déviants, consommation de drogues ou délinquance urbaine. Pourtant, l’intérêt toujours plus marqué pour la danse contemporaine et traditionnelle fait que d’innombrables centres de jeunesse à Goma proposent des cours spécialisés et que la danse est de plus en plus considérée comme un débouché positif à la créativité.

Goma accueille diverses organisations et festivités liées à la danse, comme Danse Ya Kivu Battle ou Yolé! Africa, mais le temps fort culturel reste le Festival Amani, manifestation artistique de trois jours qui se tient au mois de février. Des artistes participants comme le Amka Dance Project s’entraînent donc toute l’année pour rester à leur meilleur niveau, même s’ils doivent pour cela baisser la musique et danser en cachette.

Sujets: ConfinementCoronavirusDanse
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Bernadette Vivuya

Bernadette Vivuya

Bernadette Vivuya est une journaliste-réalisatrice basée à Goma, dans l’Est de la RDC. Elle travaille sur les questions de droits humains, d’environnement, d’exploitation des matières premières, et porte un intérêt tout particulier pour les sujets qui témoignent de la résilience de la population de cette région touchée par de nombreux conflits.

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  • “It’s been 26 years since we came to venerate our Pope, and this is the only way to mourn, always chic, well groomed, well dressed, and well scented.” said Gael Basaula, who was born in Brazzaville and who was wearing a colored sequin jacket and dyed yellow hair.
 
Each year, on February 10, Sapeurs in Kinshasa return to their origins. On the official Day of the Sape, they gather in all their finery at a cemetery in city’s Gombe neighborhood to pay tribute at the grave of Stervos Niarcos, often considered the official founder of modern sapeurism. Also known as “the Pope,” Niarcos died in Paris in 1995.
 
📷  Kinshasa, DRC, February 2021 © @makangarajustin for @fondationcarmignac
 
🔗 Read full article “Congo’s Sapeurs Revisit Their Roots” online. Link in bio.
 
🇫🇷
 
« Il y a 26 ans que nous venons ici vénérer notre Pape, et c’est le seul moyen d’exprimer notre deuil, toujours chics, soignés, bien habillés et parfumés. » témoigne Gael Basaula, natif de Brazzaville arborant une veste pailletée multicolore et des cheveux teints en jaune.
 
Chaque année, le 10 février, les Sapeurs de Kinshasa retournent à leurs racines. Pour la date officielle du Jour de la Sape, ils se rassemblent vêtus de leurs plus beaux atours dans un cimetière du quartier de Gombe et y saluent la mémoire de Stervos Niarcos, souvent considéré comme le fondateur officiel de la Sape moderne. Baptisé le « Pape », Niarcos est mort à Paris en 1995.
 
📷 Kinshasa, RDC, 10 février 2021 © @makangarajustin pour la @fondationcarmignac
 
🔗 Découvrez l’article « Les Sapeurs du Congo revisitent leurs origines » dans son intégralité sur notre blog. Lien en bio.
 
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25 years old, a.k.a Lobo Mau (“bad wolf”), was a member of the Guajajara forest guard on patrol at the Araribóia indigenous reserve in Maranhão State. He was murdered on November 1, 2019, by illegal loggers. @tomprotti for @fondationcarmignac.
 
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📷 Jamari National Forest, Rondônia, May 19, 2019. A military police officer stands in what was previously an illegal mining site in the Jamari National Forest. This protected forest area is constantly targeted by illegal miners and loggers and requires round-the-clock supervision. The police officers provide armed assistance to park rangers who refused to be photographed. Once the loggers have removed the wood from the forest, it is taken to nearby irregular sawmills. Using falsified documents, the wood is sent to Brazil’s industrialized South or abroad to Europe, China or the United States. In recent years, invasions and illegal logging of protected forest areas have increased. Almost 10% of Brazil’s national territory is made up of protected forest.
 
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  • Traditional Mai Mai militiamen ride on a motorcycle in the village of Mabuku in Eastern Democratic Republic of Congo, an area infested with armed groups. Some Mai Mai groups have attacked Ebola treatment centres and have threatened to kill Ebola responders. The effort to stamp out this Ebola outbreak in eastern Congo, the second largest in recorded history, took nearly two years, as front-line health workers struggled against rising hostility and distrust.
 
Mabuku, DRC, 2019. @finbarroreilly
 
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Patrouille motorisée de miliciens Maï-Maï dans cette région infestée de groupes armés. Certains groupes Maï-Maï ont attaqué des centres de traitement Ebola et menacé de tuer leurs personnels. La lutte contre l’épidémie d’Ebola, la deuxième la plus importante de l’histoire, a mobilisé pendant plus de deux ans des personnels de santé confrontés à une vague d’hostilité et de défiance.
 
Mabuku, RDC, 2019. @finbarroreilly
 
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