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Rutshuru, North Kivu Province, February 2020. Neighbors and Red Cross burial workers dressed in protective clothing gather outside a family home in Rutshuru, where an 11-month-old girl died during the Ebola outbreak. © Finbarr O'Reilly for Fondation Carmignac

De l’épidémie à la pandémie

parFinbarr O'Reilly
28 avril 2020
dans Santé
Reading Time: 4min de lecture

Rutshuru, province du Nord-Kivu, février 2020. Des voisins et des employés funéraires de la Croix-Rouge en tenue de protection se rassemblent devant la maison d’une famille où une enfant de 11 mois est morte pendant l’épidémie d’Ebola. © Finbarr O’Reilly pour la Fondation Carmignac

En février, tandis que je suivais une équipe de la Croix-Rouge préparant les funérailles d’un nourrisson à Rutshuru, dans le Nord-Kivu, je pensais documenter les derniers jours de la deuxième pire épidémie d’Ebola de l’histoire. Je n’imaginais pas qu’une crise sanitaire plus mortelle encore menaçait, qui allait non seulement ravager le Congo mais aussi le reste de la planète.

Les images de personnels de santé portant masques, lunettes et combinaisons de protection semblaient réservées aux épidémies d’Ebola et aux films d’Hollywood. Elles sont maintenant des clichés venus du monde entier, tandis que nous nous adaptons difficilement à la nouvelle réalité imposée par ce nouveau coronavirus.

  • Rutshuru, province du Nord-Kivu, février 2020. Des voisins et des employés de la Croix-Rouge en tenue de protection se préparent à enterrer une enfant de 11 mois victime de l’épidémie d’Ebola. © Finbarr O'Reilly pour la Fondation Carmignac
  • Rutshuru, province du Nord-Kivu, février 2020. Un employé funéraire de la Croix-Rouge montre comment mettre des gants de protection avant l’examen du corps d’une enfant de 11 mois victime de l’épidémie d’Ebola. © Finbarr O'Reilly pour la Fondation Carmignac
  • Rutshuru, province du Nord-Kivu, février 2020. Des employés funéraires de la Croix-Rouge portent le corps d’une enfant de 11 mois victime de l’épidémie d’Ebola. © Finbarr O'Reilly pour la Fondation Carmignac
Rutshuru, province du Nord-Kivu, février 2020 [1] Des voisins et des employés de la Croix-Rouge en tenue de protection se préparent à enterrer une enfant de 11 mois victime de l’épidémie d’Ebola. [2] Un employé funéraire de la Croix-Rouge montre comment mettre des gants de protection avant l’examen du corps d’une enfant de 11 mois victime de l’épidémie d’Ebola [3] Des employés funéraires de la Croix-Rouge portent le corps de l’enfant de 11 mois. © Finbarr O’Reilly pour la Fondation Carmignac

Au lieu de marquer les derniers temps d’une épidémie d’Ebola qui a tué plus de 2 200 personnes en vingt mois, les funérailles de la petite fille ont coïncidé avec les premiers jours d’une pandémie mondiale, responsable d’au moins 200 000 morts en quelques semaines, et dont on n’entrevoit pas encore la fin. Les médias internationaux se sont concentrés sur les efforts des nations les plus riches pour faire face, mais l’impact sanitaire et économique sur les nations plus pauvres a moins mobilisé l’attention.

Les frontières fermées et mon voyage interrompu, nous avons saisi une opportunité unique de mettre en avant le travail essentiel que produisent des photographes et photojournalistes congolais pour documenter les défis humains, sociaux et écologiques qu’affronte leur peuple au milieu d’une crise sanitaire sans précédent, qui nous relie tous les uns aux autres.

Depuis le début de mon projet Carmignac, je cherchais des moyens de collaborer avec mes collègues congolais pour décrire avec eux, sur un mode positif, les façons dont leur pays émerge graduellement d’une longue histoire d’exploitation, de conflits et d’incurie. Trop longtemps, les étrangers ont dominé la narration en Afrique, usant souvent d’un prisme déformant hérité de la mentalité coloniale, reflet de biais structurels et raciaux.

Heureusement, cette dynamique se modifie et de plus en plus de journalistes africains s’emploient à diffuser leurs histoires, leurs idées et leurs perspectives propres. Pour la première fois en onze ans d’existence, le Prix Carmignac va promouvoir un reportage collaboratif réalisé par une équipe variée de journalistes locaux.

J’ai le grand plaisir d’entamer ici la publication des premiers travaux de mes collègues : nous commençons demain avec une sélection des images de Justin Makangara à Kinshasa. Pour nous rejoindre et recevoir nos mises à jour hebdomadaires, vous pouvez consulter notre liste de contributeurs, nous suivre sur Instagram, et vous inscrire ici.

Aujourd’hui 28 avril, rejoignez Finbarr à 18h pour un Instagram Live sur @visapourlimage
Rutshuru, province du Nord-Kivu, février 2020. Des employés funéraires de la Croix-Rouge et des proches endeuillés enterrent une enfant de 11 mois victime de l’épidémie d’Ebola. © Finbarr O'Reilly pour la Fondation Carmignac
Rutshuru, province du Nord-Kivu, février 2020. Des employés funéraires de la Croix-Rouge et des proches endeuillés enterrent une enfant de 11 mois victime de l’épidémie d’Ebola. © Finbarr O’Reilly pour la Fondation Carmignac
Sujets: CoronavirusEbolaRutshuru
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Finbarr O'Reilly

Finbarr O'Reilly

Finbarr O’Reilly, photographe indépendant et journaliste multimédia, est l’auteur d’un récit de souvenirs paru chez Penguin Random House en 2017, Shooting Ghosts, A U.S. Marine, a Combat Photographer, and Their Journey Back from War (La chasse aux fantômes, retour du front d’un Marine et d’un photographe de guerre). Finbarr O’Reilly a vécu 12 ans en Afrique occidentale et centrale et couvert vingt ans de conflits au Congo, au Tchad, au Soudan, en Afghanistan, en Libye et à Gaza. Choisi pour réaliser les images de l’exposition « Crossroads Ethiopia » autour du prix Nobel de la paix 2019 Abiy Ahmed Ali, il est fréquemment publié dans le New York Times et son travail lui a valu de nombreuses récompenses professionnelles, dont le premier prix dans la catégorie Portraits au World Press Photo Awards en 2019. Il a également été lauréat du World Press Photo of the Year en 2006 et a remporté un Emmy Award en 2020 pour son documentaire Ebola in Congo, réalisé par PBS Frontline. Finbarr est Ambassadeur Canon.

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#CongoinConversation shares Congolese stories that address the human, social & ecological challenges the #Congo faces today. 
 
🚩 Visit the exhibition in #Paris on the gates of Tour. Saint Jacques, until Jan. 27th. (Paris 4, 39 Rue de Rivoli)

An exhibition produced by @fondationcarmignac and curated by @finbarroreilly, in partnership with @paris_maville.

Photos: Paris, Jan. 14th, 2021 © @nicolas__brasseur for Fondation Carmignac

#PrixCarmignacCongo

🇫🇷

Curieux de découvrir #RDCongo ? #Congoinconversation partage des reportages congolais qui abordent les défis humains, sociaux et écologiques auxquels le #Congo est confronté aujourd
  • 📣 “Congo in Conversation” a collaborative online chronicle presented by @fondationcarmignac and imagined by the 11th edition @prixcarmignac laureate, @finbarroreilly, and the Award team, is now exhibited in the streets of Paris, with @paris_maville, on the gates of the Saint-Jacques Tower (Paris 4, 39 rue de Rivoli)
 
This project highlights Congolese stories that address the human, social and ecological challenges that the Congo faces today. These important voices contribute to the global discourse, communally attest to the on-the-ground situation within this immense country, and raise public awareness of DR Congo.
 
📸 Photographers exhibited : @arty_bashizi, @diroledieudonne, @makangarajustin, @vizionag, @finbarroreilly, @raissa_rkar, @mosessawasawa, @pamelatulizo and @bernadettevivuya

Editorial Direction : Pierre Fahys @reliefseditions
Graphic Design : @bizzarri_rodriguez
Printing and Installation : @dupon.photo
Prix Carmignac : @emericglayse & @margaux2514 
Social media : @kyla_woods & @easterpopradio 
PR : @mamemyrtille & Nathalie Dran
 
Photos: Paris, Jan. 14th, 2021 © @nicolas__brasseur for Fondation Carmignac
 
#PrixCarmignacCongo
 
🇫🇷
 
“Congo in Conversation", un reportage collaboratif en ligne présenté par La Fondation Carmignac et imaginé par le lauréat de la 11ème édition Prix Carmignac, Finbarr O’Reilly, et l
  • #Flashback #2020
 
📸 Tintype portraits of Congo in Conversation contributors by Finbarr O’Reilly (@finbarroreilly) in Goma, December 2020 : @pamelatulizo, @makangarajustin, @guerchomndebo, @raissa_rkar, @dieudonnedio @guylainbalume, @arty_bashizi, @mosessawasawa @guylainbalume, @charlykasereka & @kudramaliro2. Bernadette Vivuya (@bernadettevivuya) and Ley Uwera (@leyuwera1) are also part of this adventure!
 
⏪ The collaborative online chronicle “Congo in Conversation” by @finbarroreilly, 11th laureate of the #PrixCarmignac Award, was launched in April 2020. Through close cooperation with Congolese #journalists and #photographers, the project addresses the #human, #social and #ecological challenges that the Congo faces today, within the context of this new health crisis. Relaying information via a dedicated website and social networks and presented in a bilingual French-English #monograph, co-published by @fondationcarmignac and @reliefseditions, it provides an outlet for Congolese voices to contribute to the global discourse, communally attest to the on-the-ground situation within this immense country, and raise public awareness.
 
We hope you enjoy discovering their stories. They will continue their reports in #2021!
 
#CONGOINCONVERSATION
 
#Congo #Photojournalism #Award #Congolese #CongoKinshasa #JournalismMatter #ReportagePhoto #Photojournalisme #Photojournaliste #journalismmatters #Portraits #tyntype #photography #photo #portrait #portraitphotography #portraitphotographer #collaborative
  • On a cloudy day in Congo’s North Kivu Province last month, Suma, 27, helped his father gather damp leaves to pile atop a mound of mud, sticks, and other vegetation to create an enclosed oven the size of a small hut. Then, with the dark outline of active volcanoes looming behind him, Suma lit a fire inside the smothered kiln to slow burn chunks of dense wood that would, over the course of several days, be turned into charcoal, or “makala” as it is called locally.
 
The father and son duo looked just like field workers the world over, carving out a meagre subsistence from the land surrounding their home village. But here in eastern Congo, on the fringes of Virunga National Park, they are just one small link in a complex and lucrative chain of illegal charcoal production that fuels not only cooking fires for the local population, but also conflict and widespread environmental destruction.

📌 To discover the full report, read our blog. Link in bio.

📸 Virunga National Park, DRC, November 2020. Guerchom Ndebo (@guerchomndebo) for Fondation Carmignac.

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🇫🇷 Novembre 2020 : sous un ciel nuageux dans la province orientale du Nord-Kivu, Suma, 27 ans, aide son père à ramasser des feuilles mouillées pour recouvrir un monticule de boue, de branchages et de végétation abritant un four de la taille d’une petite case. À l’ombre tutélaire des volcans actifs de la région, il allume le fourneau et carbonise des piles de bois dense qui donneront en quelques jours du charbon de bois, le « makala » comme on le nomme ici en lingala.
 
Père et fils ressemblent aux travailleurs agricoles du monde entier, tirant une maigre subsistance des terres qui entourent leur village. Mais dans l’est de la RDC, en bordure du parc national des Virunga, ils sont deux petits rouages d’une chaîne de production complexe et très lucrative : leur charbon n’alimente pas seulement les cuisinières de la population locale, mais aussi nombre de conflits et une destruction généralisée de l’environnement.

#congoinconversation #prixcarmignac #congo #RDC #DRC #DRCongo #environnement #virunga #photography #photojournalism #photographer #journalism
  • “The photographs shown here represent a revival of Congolese culture and illustrate how we use creativity and tradition to showcase natural hair as a symbol of pride and the reclaiming of ownership over our bodies while being comfortable and proud of our appearance without artificial products. They also show a tradition that needs to be preserved and passed on to the next generation.”
 
Videographer @bernadettevivuya and photographer @raissa_rkar, met in Goma and Bukavu the women who embraced traditional Congolese hairstyles.
 
📌 To discover the full report read our blog. Link in bio.

📸 Raissa Karama Rwizibuka for Fondation Carmignac.
 
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« Les photographies présentées ici documentent un renouveau de la culture congolaise et illustrent le mélange de créativité et de tradition mis en œuvre pour faire des cheveux naturels un symbole de notre fierté et de la repossession de nos corps, tout en préservant sans produits artificiels notre confort et notre belle apparence. Elles dévoilent aussi une tradition qu’il nous faut préserver et transmettre aux prochaines générations. »
 
La vidéaste @bernadettevivuya et la photographe @raissa_rkar ont rencontré à Goma et à Bukavu ces femmes qui ont opté pour des coiffures congolaises traditionnelles.
 
📌 Pour découvrir le reportage dans son intégralité, rendez-vous sur notre blog. Le lien est en bio.
 
#CONGOINCONVERSATION
 
#DailyLife #Fashion #Hair #Coronavirus #Health #Santé #Cheveux #RDC #DRC #Congo #Congo #Photojournalism #Award #Congolese #CongoKinshasa #JournalismMatter #ReportagePhoto #Photojournalisme #Photojournaliste #journalismmatters
  • “If we say photography is around 180 years old, then we’re going to need another sense of photography (to develop and to encourage new ways of seeing that challenge photography as an inherently racialized medium that maintains the white or Eurocetric perspective). All of this will take decades, if not centuries, to push back. Its present unpicking will help push back some of the debasing historical images of the Black subject. If you look in the archive, it’s full of broken Black bodies, especially around conflict. When there are internal European conflicts, the body often gets treated very differently. It’s evident in the work and in the public’s emotional responses to those images. When you’re looking at subjects, whose lives do we value? If we can get to a place where the value of an African person or a Black person caught up in conflict is treated with care and compassion, then we can begin to make some progress.” – Mark Sealy, curator @autographabp, cultural historian, and author of Decolonizing the Camera, exploring the relationship between photography, race and human rights in his introduction to the new collaborative book, Congo in Conversation, featuring the work of 10 Congolese photographers —half of them women— published this week in English & French by @prixcarmignac & @reliefseditions.⁠⠀
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